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vendredi 6 novembre 2015

Chronique : Ma raison d'espérer, Rebecca Donovan

Titre : Ma raison d’espérer
Tome : 2
Auteur :  Rebecca Donovan
Edition : Pocket Jeunesse
Date : 2012 (Sortie VF : 2015)
Pages : 599
Genre : Contemporain

Résumé :
« Tu es le sens de ma vie, la raison de chacun de mes actes. Et je ne changerai ça pour rien au monde. » 
Emma commence doucement à réapprendre à vivre aux côtés d'Evan et de Sara. Hantée par des cauchemars terribles, elle décide de donner une seconde chance à sa mère, qui l'a abandonnée, espérant trouver un sens à sa souffrance. Mais elle doit aussi affronter le regard des autres : ceux qui s'en veulent de ne pas l'avoir soutenue, ceux qui la jugent mais aussi ceux qui, surgissant de son passé, ont encore bien des révélations à faire sur sa vie d'avant…

Avis :
Le premier tome avait été pour moi un énorme coup de cœur (ma chronique) et j’étais impatiente de pouvoir lire ta suite tant l’auteur donnait envie avec cette fin cruelle pour nous lecteur ! C’est avec bonheur que j’ai retrouvé Sara, Evan et Emma et une fois de plus ce tome est un coup de cœur. 599 pages lues en à peine 48 heures, il m’était impossible de lâcher les personnages. Je voulais voir ce que l’auteur avait prévu pour Emma et les autres et une fois de plus l’intrigue n’est pas de tout repos. J’ai adoré en savoir plus sur des personnages du premier tome tel que Rachel. J’ai aimé en savoir plus sur le personnage principal, découvrir son enfance, l’histoire de ses parents, ou bien la raison de son placement chez son oncle et sa tante. Ce second opus est dans la continuité parfaite du premier tome et laisse présager un troisième tome assez génial. Rebecca Donovan nous laisse terminer son histoire une fois de plus avec un événement assez dingue et tout comme pour le premier, l’attente du lecteur au regard du suspense final recommence. Je n’avais pas vu arriver cette fin qu’au final j’adore et je déteste à la fois.

Si vous avez aimé le premier tome, foncez sur celui-ci. Si vous ne connaissez pas cette histoire foncez les yeux fermés.



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